Comment et pourquoi le coach doit toujours être en accord avec ses valeurs ?

Il appartient au coach d’être parfaitement en accord avec ses valeurs (d’où l’importance d’un processus thérapeutique dont nous reparlerons plus tard) et totalement clair avec le prescripteur afin de ne pas être soumis à un quelconque “stress déontologique”. Le coach doit être en mesure de “naviguer” avec souplesse entre les problématiques du prescripteur et du coaché (dans le cas où elles sont différentes), en essayant de ne pas favoriser l’une des deux problématiques. Ainsi, si l’analyse de la demande initiale représente environ 50% du travail de coaching, il peut arriver que la demande de départ soit modifiée durant les séances de coaching. C’est le cas, par exemple, lorsque…

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Que peut faire un coach quand le coaché a des doutes sur sa posture, sur ses compétences… ?

Exemples : Comment faire pour être reconnu dans mon entreprise ? Quoi faire pour devenir qui je veux être (projet de changement) ? Suis-je un bon dirigeant ? Selon moi, même si le coaché a contribué (par ses comportements…) à sa propre vulnérabilité, ces attentes, qu’il qualifie de “secrètes”, doivent être accueillies, de manière inconditionnelle, par le coach afin de lui permettre de : . frustrer son client ; pour ensuite le faire travailler sur lui pour qu’il trouve en lui-même les solutions à ses problèmes identitaires . objectiver ce qui peut l’être, en demandant au coaché d’approfondir les éléments constitutifs de son identité . inviter le coaché…

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Si le coaching n’est pas une psychothérapie, tout coaching peut pourtant être thérapeutique… Mais comment ?

Il existe plusieurs approches du coaching : . Psychanalytique ; c’est le royaume du “pourquoi ?” . systémique, qui replace le sujet au cœur du collectif . cognitive ; c’est le rapport entre pensées, émotions et comportements. Comme vous vous en doutez, il existe des différences significatives entre le coaching et la thérapie. Le coaching est une forme spécifique d’accompagnement des personnes et/ou des équipes. Le coaching s’occupe de la partie émergée de l’iceberg (même s’il demeure attentif à ce qui se passe sous la ligne de flottaison), laissant la partie immergée (le préconscient et l’inconscient) et la résolution des problématiques qu’elle révèle, à d’autres formes d’accompagnement apparentées…

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Faut-il prendre ou non en coaching les sujets narcissiques ?

En matière de psychologie clinique (coaching clinique : avant les techniques, il y a l’être…), il est impératif d’être parfaitement à l’écoute d’une demande et d’essayer de lui répondre. Cependant, il peut être utile pour le coach de faire de une à trois séances de rencontres afin de pouvoir évaluer le coaching à réaliser, notamment pour savoir s’il existe : . une contre-indication liée à la personne du coach (dans ce cas, il devra se protéger…) . une contre-indication liée au coaché. Le sujet de structure narcissique se développe beaucoup depuis une vingtaine d’années ; il représente, notamment, environ 25% de la génération des 18-30 ans ! Il…

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Coaching et psychothérapie… Quelles frontières ?

La difficulté se situe dans l’articulation du principe d’autonomie du patient et du principe de bienfaisance. Si le patient individuel n’a pas nécessairement la connaissance du thérapeute (ou du coach), il est quand même en mesure d’évaluer les impacts des changements évoqués sur son histoire personnelle, sur le sens de son existence et, plus généralement, sur sa vie de tous les jours. Mais pour pouvoir exercer son jugement, un dialogue constructif est nécessaire entre le thérapeute et le patient. Le thérapeute doit toujours être en capacité de laisser la possibilité au patient de prendre les décisions qui vont affecter sa vie de tous les jours. Aussi, une frontière…

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